Nonobstant le conseil, voire l'étude patrimoniale, indispensable avant tout placement/investissement, le souscripteur faisant appel à La Boîte à Finances n'en est pas dépendant car :

  • Le cabinet n'est qu'un intermédiaire. Aucun fonds n'y est placé. Le cabinet n'y est pas autorisé et il lui est techniquement impossible de recevoir ou de transférer l'argent des investisseurs sur ses comptes. Les capitaux sont placés sur les supports choisis par l'investisseur au travers des contrats souscris auprès de divers assureurs, sociétés de gestion ou banques.

  • Les interfaces de gestion en ligne des contrats sont détenues par les fournisseurs. La Boîte à Finances ne peut entraver la gestion et l'administration des contrats. Son improbable cession ou cessation d'activité n'empêcherait en aucun cas la gestion et l'administration des contrats en cours.

  • La Boîte à Finances n'a recours à aucun programme de fidélisation susceptible d'inciter à continuer de faire appel à ses services. Le cabinet ne vend pas, mais propose un service de conseil et de courtage, voire de médiation*.
Le souscripteur d'un contrat est donc le client de la société gérant le produit financier ou immobilier, par l'intermédiaire de La Boîte à Finances qui en assure le courtage, notamment la réduction des frais.

Pour toutes ces raisons, le souscripteur n'est pas considéré comme un client*, mais surtout comme un utilisateur de la Boîte à Finances qui investit sur le produit d'un tiers.
Les relations liants l'investisseur et son conseillé attitré n'en sont que plus sincères et profondes.

Passer par l'intermédiaire de La Boîte à Finance pour faire fructifier son épargne, réduire son imposition et réaliser ses investissents ne nécessite pas de changer ses habitudes bancaires.
  • l'investisseur ne quitte pas sa banque habituelle,
  • l'investisseur n'a pas de compte à alimenter avec La Boîte à Finances,
  • l'investisseur reste libre de conserver ou pas ses placements bancaires,
  • l'investisseur est libre de faire appel à La Boîte à Finance, ou pas.
De fait, le cabinet doit donc être avant-tout considéré comme un partenaire pour l'investisseur dans sa quête de réussite financière, qu'une société de commercialisation de produits financiers.

*ceci même si certaines études patrimoniales donnent lieu à facturation